Jusqu’a present je me suis mure sans repit
Le cercle la ligne du nom m’ont guerri
Derriere le rideau il pourrait être en fin
Grouller d’instincts
Nous abreverons les chevaux de la memoire
Ulterieurement il sera un bonheur comme on peut pas
Metaphysique IV
Les syllogisme ne sont que conventions / sans doute
Extenuant dimanche
C’est sur la route ouverte que le rêve s’accomplit
Je regarde ton visage non atteint / le lieu
Il en est libre le droit a la paix... / La liberte
En nous nous habitant
Nos vies sont rangees cote a cote
(Traduceri de Virgil BULAT)
Projet de poeme
dans un espoir - sorte d’une autre solitude!
sans adresse precisse / en semant une negation
une metaphysique une nudite une secheresse
un travesti en femme...
d’illusions en me plongeant encore et encore
dans les eaux brulees / Sans doute mes arts poetiques
ont ete et reste seulement une solution
la civilisation / mais a ce que je vois c’est un simple
sens giratoire!...
dans les etangs de la nuit
et apres - nous volerons dans le neuvieme ciel de l’illusion
Passer encore pour le reste mais nous ne serons trop ingenus
en adorant les seins d’Isolde sa chastete legendaire
Aux heures nonm gardees a la memoire de l’eclipse
quand nous grouillerons d’instincts
dans les broussailles des obscurs reveils
A l’ombre des evenements sur la peau des parois
nous nous decanterons les nerfs liquides. Equations
de suicid provincial / Merle qui chante
dans le moulage de cire sur un etat indefini
le trouver sur des cartes postales en couleur...
La belle de fumees et de rêves la pas encore nomee
beaute de chair ardente restera entortillee de graces
en attendant sur le lit pas encore defait
a l’hotel celeste de Wiemar.
de Moliere nous avons reçu le coup d’oeil
vers nos propres abîmes. / L’echec en etant
le melange de la poesie et du suicide.
et de ce cote-ci moi aussi je me dirige / En attendant
l’extenuant dimanche dans lequel les choses
cerchent de ranger leur droit a l’eternite...
pas encore occupe dans la monade / et moi
je ne peut pas nier la chanse
qui se niche dans l’avenir
appartient au poete ainsi que la pauvrete.
Il vaut mieux être gynecologue que poete!
sur la vive paroi de l*Oeuvre Celeste
Et chacun a sa fenêtre vers la part
d’où commence l’inconnu / Toujours
le coeur - devenu echo - insiste
même il est au-devant des evenements...
Fourres dans des monades où sous mantes de cabotins
nous passons la grande alerte de la chair / Nous
nous fletrons en nous nous habitant -
toujours mutant les signes et les consignes
de la gloire - les uns sur les autres.